Menu Fermer

photographie

Les rues d’Avignon en période de festival. Des affiches, partout des affiches. Sur les murs, aux fenêtres, sur les barrières et les poteaux, … Entre deux spectacles, je suis partie dans les ruelles de la ville ensoleillée capturer quelques-uns de ces affichages. J’ai cherché le contraste des imprimés colorés sur les murs de la ville, les titres de pièces comme un message ou un clin-d’oeil, et la lumière du sud.

[voir la série de photos]

De l’Iran à la Bretagne, en passant par mon quartier, quelques portraits de fleurs, de feuilles, de branches. Des pétales délicats et des épines, des couleurs vives et d’autres plus discrètes. Des fleurs qui viennent de s’ouvrir, alors que d’autres sont déjà fanées. Et celle qui n’attend qu’un coup de vent ou un souffle enfantin pour se disperser. Des végétaux des champs, des villes, des plages ou des jardins. Chacun raconte une histoire, un souvenir.

[voir la série de photos]

Poussons la porte pour voir se qui se passe dehors, en cette mi-décembre 2020. Il a neigé un peu la veille, mais à part une famille de bonshommes de neige qui luttent contre le chaud dans un jardin, presque tout a fondu.

Quelques baies rouges, mais aussi des pissenlits et des pâquerettes. Des traces de l’automne qui s’accroche. Normal me direz-vous, nous ne sommes même pas le 21 décembre. Mais que dire alors des arbres en fleur au pied de la cathédrale? Comme un petit air de ressemblance avec certaines photos prises ce printemps?

[voir la série de photos]

Des poteaux de bois, plus ou moins épais, plus ou moins droits, et quelques fils métalliques pour les relier. Une, des barrières. Empêcher de passer, délimiter un espace, marquer une propriété. Et toujours ce sable, le bleu du ciel, et la mer – qu’on se contente d’imaginer parfois.

[voir la série de photos]

Quelques tulipes sous un kiosque à musique, du lierre contre un mur ou de délicates fleurs blanches. Et des pissenlits, partiellement emportés par le vent. Quelques jolis instants, souvenirs rapportés d’une promenade dans le quartier. Parce que même en ville, la nature nous fait des clins-d’oeil et se laisse admirer.

[voir la série de photos]

Un voyage virtuel qui commence sur les toits de Lyon. Des cheminées, des tuiles et quelques mots graphés par des acrobates. Des couleurs ocre, rouge, orange, jaune foncé. Un ciel nuageux, plutôt gris. Et un petit intrus, au-dessus d’une terrasse de café.

Plus au sud, ensuite, du linge qui sèche sur un toit de Seville. Des plantes aux fenêtres, des motos dans une rue et des façades chauffées par le soleil andalous.

[voir la série de photos]